mercredi 5 juin 2013

Mise à jour de l'avancée de ma BAD du 4/06/13

Encore une petite mise à jour des avancée et révélation d'un gros projet à venir ;)

Je n'en dit pas plus, bon visionnage :)

Portez vous bien

Eagleye


lundi 3 juin 2013

L'entourage du survivaliste

SURVIVALISTE, UNE VIE SOLITAIRE?

Beaucoup parlent de survivalisme sur les différents sites et forums que je rencontre et cette question, souvent abordée, mérite qu'on en parle et qu'on y réfléchisse.

Pour de nombreuses personnes ne connaissant pas le milieu du survivalisme, le seul point de repère reste les médias. L'image qui est souvent véhiculée est celle d'un vieux grizzli solitaire armé jusqu'au dent et enfermé dans une cave en attente du jugement dernier ou dans l'attente d'une invasion de zombies. Fort heureusement, la vérité est tout autre... du moins pour la plupart d'entre nous.

Ayant maintenant abordé concrètement ma vie de survivaliste, je peux commencer à parler d'expérience et une des choses les plus importantes que j'ai pu bâtir jusqu'ici, c'est d'avoir élargi autour de moi un cercle d'amis, de connaissances et une famille soudée qui est au courant de ma démarche et qui sont pour moi une véritable source de motivation, d'écoute et d'entraide.

Certes, il restera toujours des adeptes du pour vivre heureux, vivons cachés, mais au vu du travail à accomplir, des nombreux domaines à aborder et des connaissances énormes à accumuler pour être bien encré dans sa vie de survivaliste, il faut avoir auprès de soi ces personnes.

L'ENTOURAGE DU SURVIVALISTE, C'EST QUI?

Quand je parle d'entourage, je parle bien sûr d'entourage au sens large du terme. Pour simplifier, je vais en parler en partant de l'entourage le plus proche et en s'éloignant au fur et à mesure pour vous montrer à quel point ce domaine peut être vaste.

Le(a) conjoint(e)

Si vous êtes en couple, c'est LA personne la plus importante avec laquelle le sujet du survivalisme doit être d'une honnêteté totale. Vous ne pouvez pas vous préparer efficacement ou préparer votre BAD sans cette personne. Si vous êtes dans cette démarche vous devez donc dès le début aborder le sujet. Bien sûr il faut, selon la sensibilité de la personne, l'aborder d'une manière qui ne la braquera pas et qui n'aura pas un effet contre-productif au point de la braquer définitivement à propos de ce sujet.


Pour ma part, j'avais commencé de la mauvaise manière. J'ai, trop rapidement avec le recul, abordé en premier l’éventualité d'un effondrement total et définitif de la société qui pouvait être imminent et très brutal. Le soucis, c'est que ma femme est très sensible et elle s'est malheureusement très vite braquée et a commencé dans un premier temps à avoir peur. Mon approche, à l'époque, ne s'était faite que par des sites d'information (Ou plutôt d'anti-désinformation) et je n'avais pas encore concrètement connaissance du survivalisme.


Après lecture du premier livre de Piero San Giorgio, Survivre à l'effondrement économique, j'ai commencé à ressentir les choses de manière différente et j'ai donc commencé à réfléchir le survivalisme d'une manière plus concrète en me préparant, pour la première fois de ma vie, au soucis qui peuvent advenir au quotidien, en plus de préparatifs en vue d'un effondrement de la société telle que nous la connaissons aujourd'hui.

J'ai donc, avec plus de patience et de tact, commencé à présenter au quotidien différents soucis qui pouvaient nous arriver à tout moment, aidé par quelques soucis de coupure d'eau, d’électricité, de neige etc... et progressivement nous avons abordé le sujet et j'ai essayé de lui faire comprendre ma démarche au travers de geste simples. J'ai crée un kit de premier secours que je porte tous les jours en expliquant qu'en cas de soucis, nous serions bien contents de l'avoir sur nous, etc etc... Je vais également l'inscrire à un stage de premiers secours, ce que je conseille à tout le monde.

Puis les projets ont avancé et avec le temps, son éveil au monde d'aujourd'hui s'est fait petit à petit et elle a commencé à m'aider dans ma démarche. Ça commence par quelques boites de conserves achetées en plus des courses à chaque sortie au supermarché en cas de rupture des stocks. C'est déjà arrivé pendant des blocus des raffineries par exemple. Puis, rapidement, l'envie de liberté est arrivée comme un oiseau à qui on ouvre la cage et qui réfléchit un peu avant de sortir et de prendre son envol. Et depuis, elle m'aide au quotidien et mon travail de préparation est devenu notre travail.

Et n'oubliez pas que la personne avec laquelle vous vivez est la plus importante. Demain, si il vous arrive quelque chose (Blessure, Maladie, etc) , il est vital qu'elle puisse être à l'abris des soucis et déjà préparée pour vous aider aux tâches quotidienne. Pire, imaginez que vous décédiez, qu'adviendra t'il de cette personne si vous vous êtes préparé uniquement de votre côté? Et si elle est au courant de vos préparatifs mais qu'elle n'y a jamais participé, comment pourra -t-elle continuer à ce préparer sans vous?

Et  même sans cela, la tâche à accomplir pour une BAD est tellement énorme que vous aurez besoin de toute façon de la personne qui vit avec vous au risque de vous épuiser très rapidement.

Vos enfants

Vous n'avez peut être pas d'enfants, mais quoi qu'il en soit, c'est un membre de l'entourage de beaucoup de survivalistes qu'il est vital d'aborder, tant il est complexe.

Lors de son plus jeune âge, un enfant est une charge et le restera de nombreuses années. Mais il est également, à mon goût, la meilleure source de motivation dans votre démarche de survivaliste tout comme il l'est pour la majorité des parents dans tous les domaines possibles autre que celui que nous abordons dans cet article.

En tant que survivaliste, nous nous bâtissons un avenir mais nous préparons également le terrain pour les générations futures, pour qu'elles n'aient pas à se tracasser autant que nous et qu'ils puissent vivre une vie sereine, sans pour autant le préserver des difficultés de la vie quotidienne.

En tant que survivaliste, avoir un enfant implique une responsabilité énorme puisque, contrairement aux autres enfants, il faudra l'éduquer avec la difficulté de vivre en décalage par rapport à la masse et il faudra donc lui expliquer votre démarche au quotidien et, si vous avez au vos enfant en tant que personne déjà survivaliste, l'éduquer dès le plus jeune âge à aborder la vie de la manière la plus juste qui soit.


Les dernière générations, je pense notamment aux baby-boomers, n'ont pas eu les préoccupations que nous pouvons avoir. Si ils perdaient leur travail, il était aisé d'en trouver un autre très rapidement. Ils ont connu une période de faste qui a fait qu'ils ont éduqué ou éduquent encore leurs enfants avec une vision du monde tel qu'eux l'ont connu.


Notre démarche à nous doit être différente, surtout si vous êtes dans mon cas et que vous préparez votre BAD. Dès le plus jeune âge, ne les mettez pas devant la télé mais, par exemple, emmenez les découvrir le monde à l'extérieur, faites les participer à vos préparatifs et transmettez leur les savoirs qui leurs seront utiles dans leur vie future qui ne sera malheureusement pas évidente, peut être même pire que celle que vous connaissez.

Je prend mon cas personnel. J'ai une petite fille de 2 ans. Je l'élève à être la plus autonome possible rapidement et elle passe, quand il fait beau, ses journées dehors avec moi. De son côté, elle s'éveille à la vie et à la motricité mieux qu'un enfant toujours assis devant la télévision, elle rayonne de bonheur et respire le bon air frais dehors. Pour ma part, la voir si heureuse me fait pousser des ailes et je travaille d'autant plus dur qu'elle est, avec ma femme, ma plus grande source de motivation. Le bonheur tient parfois à peu et un environnement familial agréable est vital pour vous permettre de progresser sereinement dans votre démarche.

Une fois plus âgé, vos enfants pourront vous aider à leur manière dans vos préparatifs et vous pourrez avec plaisir leur transmettre votre savoir et eux même vous dépasseront sûrement un jour, et dans l'avenir ils seront bien mieux préparés à aborder le monde que la plupart des enfants.

N'oubliez toutefois pas qu'il s'agit d'enfants et qu'il faut leur laisser le plus longtemps possible cette innocence qui nous fait tellement défaut quand nous sommes adultes. N'abordez pas avec eux des sujets comme un effondrement de la normalité ou toute chose qui pourrait les choquer.

Une fois à l'âge adulte, vos enfants seront un soutien important si ils ont choisi de continuer dans la même voie que la votre. Et même si leur chemin est différent, ils ne pourront jamais totalement revenir dans le moule des zombies lobotomisés par la télévision.

Vos parents, frères et soeurs ou autre cercle familial proche

Même si ils ne vivent pas forcément avec vous au quotidien ces personnes sont également très importantes dans votre démarche de survivaliste. La manière de l'aborder doit être quasiment la même qu'avec votre conjointe puisqu'en cas d'effondrement de la normalité, vous serez pour eux un soutien autant qu'eux le seront pour vous. Bien sûr, ce n'est pas une généralité. Certains d'entre vous, soit par choix, soit par éloignement géographiques, n'impliquent pas leur famille proche dans leurs préparatifs.


Pour ma part, le sujet a été assez difficile à aborder avec eux, justement parce comme je l'ai expliqué précédemment avec le sujet des enfants, la génération précédente n'a pas vécu les changements brutaux que nous vivons actuellement et ne comprend peut être pas notre démarche au quotidien.


Au tout début, j'ai commencé à aborder simplement le projet de l'achat d'une maison puisque, et c'est vrai, je n'envisageais pas de travailler dur dans une maison qui n'était pas la mienne. Ma démarche survivaliste étant encore récente à l'époque, je n'aurai pu aborder le sujet puisqu'ils ne m'auraient tout simplement pas cru puisque j'étais plutôt du genre à jouer aux jeux vidéos et pas du tout à travailler dehors.

La maison ayant été prise en main, le sujet commençait à devenir un peu plus simple et j'ai commencé à parler du projet de rendre la maison plus autonome et moins gourmande vis à vis de la planète et qui me permettrai, dans le cadre de la crise mondiale actuelle, de pouvoir faire des économies d'énergie et en nourriture.

Par contre, le sujet du survivalisme, je n'ai pu l'aborder qu'avec ma soeur et ma mère, plus ouvertes d'esprit que mon père qui lui, à 74 ans, ne peut comprendre une telle démarche. Quand c'est comme cela, n'essayez pas de faire valoir votre point de vue à tout prix. Après avoir connu les 30 glorieuses et les années "faciles" il est difficile de croire qu'un système que l'on connaît depuis si longtemps peut s’effondrer brutalement. Ma démarche de maison autonome est quelque chose de plus abordable puisqu'il a quand même conscience que le monde a changé ces dernière années et il m'apporte donc tout son soutien.

Ma mère, elle, est encore plus à même de comprendre ma démarche puisque par hasard, en ayant discuté avec Piero, il s'en trouvé qu'il voulait publier son livre en Polonais. Ma mère étant polonaise, nous l'aidons à trouver un éditeur et elle a voulu, pour savoir de quoi elle parlait, lire le bouquin. Depuis elle comprend mieux ma démarche.

Mais revenons en à nous moutons, dans le cadre du survivalisme, quel lien et quel entraide peut il y avoir avec vos parents proches? Et quel soutien peuvent ils peut être vous apporter et pouvez vous leur apporter?

A dire vrai tout dépend du caractère de chacun. Certains ont des parents qui sont plutôt d'une génération un peu plus ancienne ce qui est le cas de mon père qui est né en 1939. Il m'apporte ses savoirs anciens, me guide pour apprendre à jardiner, bricoler etc... Et il n'est nullement survivaliste ou même au courant que je le suis. Je me contente de lui expliquer que je veux que ma maison soit la plus autonome possible puisque, comme je l'ai dit précédemment, les anciennes générations ne peuvent avoir une vision du monde tel qu'il est aujourd'hui de par le fait que les médias se chargent trop fréquemment de les empêcher de voir les choses telles qu'elle sont. C'est le fameux, "moi à mon époque je...".

Mais il ne faut surtout pas croire qu'ils ne comprennent pas certaines démarches que nous effectuons. Les plus anciens ont encore beaucoup de savoir faire anciens qu'ils ont souvent plaisir à nous transmettre et qui seraient vitaux dans le cadre d'un effondrement qu'ils ont pour certaines eux même connus.

Pour ceux qui sont d'une génération plus récente (Ma mère, par exemple, a 56 ans), comprendre le monde d'aujourd'hui est plus simple et, étant encore pour certains dans le monde du travail, ne comprennent que trop bien nos difficultés (Chômage élevé des seniors, allongement injustifié de la durée du travail etc...). Ils sont, par conséquent, plus faciles à convaincre et comprennent mieux notre démarche. Vous pourrez soit trouver auprès d'eux un soutien, l'expérience et le savoir faire et souvent un dynamisme propre à cette tranche d'âge.

De plus, n'oubliez pas que si vous êtes ce que vous êtes, c'est que vos parents y sont aussi peut être pour quelque chose puisqu'ils vous ont aidé à façonner votre personnalité et que pendant encore de nombreuses années ils pourront vous aider dans votre démarche et vous pourrez également les guider sur le chemin du survivalisme, ou tout du monde de la prévoyance.

Les amis


Vous savez ce qu'on dit : "Ses amis, c'est la famille que l'on a choisi" et "qui se ressemble s'assemble".

S'il y a bien une chose que j'ai apprise, c'est que les amis qui nous entourent ne sont jamais là par hasard. Dans cette période difficile, il est nécessaire de se serrer les coudes et de s'entre-aider entre amis, notamment dans le cadre de sa préparation.

Je ne dis pas non plus qu'il faut chercher ses amis et les sélectionner selon des critères purement utilitaires puisque le plus important pour un survivaliste c'est de garder la foi dans ce qu'il prépare et de réussir à s'accorder des bons moments pour éviter de tomber dans la morosité et c'est là que les amis interviennent. Il faut aussi savoir aider ses amis quand ils ne vont pas bien et ils vous le rendront bien le moment venu. Quand ça ne va pas, rien ne vaut une bonne soirée entre amis.


C'est aussi pour ça que j'ai écrit cet article. Un bon survivaliste doit être bien entouré par les autres, qu'ils soient survivalistes ou non car seul, on ne peut subsister. C'est une conviction profonde.


J'en reviens aussi aux réseau d'amis d'entre-aide. Je parlais de mes amis dans le bâtiment. J'ai, par exemple, un ami menuisier qui m'apporte des chutes de bois, ce qui me fait du bois en réserve pour la cheminée. Il me prête son véhicule utilitaire ce qui me permet d'avancer dans mes préparatifs en allant chercher des matières premières et objets lourds qui me serviront dans le cadre de mes préparatifs. Je lui apporte également mon soutien dans ses projets comme la construction de sa maison entre autre chose et, le moment venu en cas de soucis, je serai également un soutien pour lui et sa famille si ils se retrouvent en difficulté.

Cet entre-aide est très importante, je le rappelle encore une fois.

Je n'ai, dans mon entourage, que très peu d'amis survivalistes. A dire vrai, je n'en ai qu'un et notre amitié n'en est qu'à son début puisque je viens de le rencontrer. Mais ces amis là sont, à mon goût, tout aussi importants puisque l'entre-aide possible est immense dans le cadre de préparatifs.

Les connaissances utilitaires

Je ne parle pas là d'amis, mais de connaissances avec lesquelles il est convenu d'un simple échange réciproque de bons procédés.

Je pense notamment à des producteurs locaux avec lesquels vous convenez de tarifs intéressants pour divers produits en échange de publicité, ou simplement de produits gratuits en échange de temps de travail. Pourquoi pas des personnes à qui vous vendez des biens que vous produisez. Je compte par exemple vendre des oeufs à diverses personnes du coin qui le veulent.

Ces connaissances sont aussi variées qu'il y a de sujet à aborder dans le survivalisme et, même si on ne peut parler d'amis, vos échanges mutuels seront bénéfiques à court, moyen et long terme.

Les voisins

Une autre partie de vos connaissances et non des moindres, c'est vos voisins. Dans un cadre non survivaliste, ils sont déjà très importants. Imaginez vivre votre vie à côté de personnes que vous verriez vous mais avec lesquelles vous n'auriez aucune relation, voir de mauvaises relations. Cela deviendrait vite invivable.

De plus, lorsque vous arrivez dans un nouvel endroit, que vous avez un nouveau voisinage, il est important de comprendre que ce n'est pas à eux de devoir vous accepter mais à vous de vous faire accepter par eux. Les survivalistes sont, à ce que j'ai souvent pu constater, des personnes qui cherchent justement à avoir de très bonnes relations sincères avec leurs voisins.


Pour ma part, cela fait 2 mois environ que je suis dans ma BAD et j'ai déjà été manger chez mes voisins et essaye régulièrement de leur rendre service, même si je l'admet, ce sont les premiers à me rendre beaucoup de services. Cette bonne relation de voisinage peut, avec le temps, devenir une belle amitié.


Si vous avez une BAD rurale, cette relation est d'autant plus importante que les personnes qui vous entourent seront, bien souvent, bien mieux habituées que vous au monde rural, connaîtront l'endroit où vous vivez bien mieux que vous et vous aurez sûrement beaucoup à apprendre d'eux.

Ne forcez surtout pas vos voisins au survivalisme et attendez de bien les connaître avant de leur faire comprendre votre démarche, voir attendez qu'eux même, peut être, viennent vous en parler.

J'ai pour ma part fait la connaissance d'un de mes voisins, une sympathique famille avec deux enfants, lors de l'anniversaire de ma voisine. Et en discutant avec lui, j'ai pu constater qu'il avait les mêmes convictions que je pouvais avoir. Nous avons parlé escroquerie de la politique actuelle, chemtrails, de la lobotomisation par la télévision (Qu'ils ont abandonnée depuis 2 ans) et j'en passe. Il se prépare tranquillement pour l'avenir, animaux, verger etc... Sans même le savoir il est survivaliste et je compte d'ailleurs lui faire lire le bouquin de Piero pour lui faire découvrir l'univers du survivalime de manière plus concrète.

Nous nous sommes déjà engagés dans une voie d'entraide qui sera à mon avis très constructive et utile pour tous les deux.

Cela m'a également de me faire connaître par mon voisinage qui m'a très bien accepté bien qu'ils ne connaissent rien de moi. Un bonjour, un sourire, de la bonne volonté pour aider les autres et rapidement les gens comprendront que vous êtes de bonne volonté. C'est aussi dur pour vos voisins d'avoir un nouveau voisin que vous de vous intégrer à une nouvelle communauté puisqu'on ne sait pas quel genre de personne va vivre à côté de chez nous.

Pour ma part, je suis ravi de mon entourage et je tiens à souligner que le stéréotype des petits villages accueillant mal les personnes venant de l'extérieur est bien souvent faux. Il ne faut pas croire que le conflit vient forcément des gens en place mais chercher à comprendre, en cas de soucis, si vous n'y êtes pas pour quelque chose de la manière la plus objective possible en se posant les bonnes questions.

CONCLUSION

Je pourrai bien sûr aborder de nombreuses autres personnes d'un entourage, mais la chose principale que je souhaitais souligner dans cet article, c'était surtout l'attitude à adopter pour un survivaliste pour avoir un entourage qui le soutienne et qui ne soit pas choqué par ses préparatifs et éviter à certains de penser qu'être seul dans le cadre du survivalisme était, à mon goût, une mauvaise stratégie.

Soyez humble, patients avec ceux qui ne partagent pas vos convictions sans chercher à tout prix à les convaincre puisque tout le monde n'est pas prêt à entendre notre version de notre vision du monde.

Et si vous réussissez à vous faire un entourage comme j'ai la chance d'en avoir un, croyez moi, vous en sortirez grandis et vos préparatifs avanceront à grand pas.

En attendant portez vous bien

Eagleye